Tous les articles par pierrick

Les confinements réduisent la pollution ?

Le 25 février 2020, la Nasa a publié des images satellites montrant une baisse importante des émissions de NO2 émis par les véhicules et les centrales thermiques entre mi-janvier et février.

Des études similaires ont été réalisées en Italie, concernant le monoxyde de carbone (CO). À Paris, la qualité de l’air s’est améliorée de 30% selon Airparif qui a comparé ce mois de mars à un mois normal.
Le trafic routier et aérien sont les principales causes de diminution des polluants sur la Capitale.

Ces constatations faites par des satellites de la NASA et de l’Agence Spatiale Européenne révèlent l’effet bénéfique des mesures prises pour lutter contre la pandémie. Les confinements auraient donc entraîné une baisse de la mortalité liée à la pollution.

Pierrick Mouëza

Coronavirus, isolement et solidarité

« La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».
Constitution de l’ONU, 1946.

L’épidémie de Coronavirus pousse les autorités du monde entier à adopter des mesures de confinement plus ou moins sévères. La quarantaine étant, en France, fixée à 14 jours, les effets de l’isolement peuvent être importants sur la santé.

Alors que le confinement limite les interaction sociales, les initiatives solidaires se multiplient: courses pour un voisin en quarantaine, garde d’enfant de soignants, simple visite à une personne âgée isolée… Elles révèlent que les Français sont de plus en plus isolés. Plus d’un tiers des ménages sont constitués d’une seule personne, d’après un rapport de l’INSEE de 2017.

Une épidémie de solitude est en cours, comme le signale l’économiste Eloi Laurent dans une tribune du Monde. Après le virus, un changement des relations sociales dans nos sociétés s’impose.

Sources: Le Monde, INSEE.

Pierrick Mouëza

Syrie, montée des tensions entre la Turquie et l’alliance Syrie-Russie

Après huit ans de guerre au sein de la république syrienne entre le régime syrien en place et les différentes forces d’opposition, le conflit ne semble pas prêt de s’arrêter.

Le 27 février 2020, 33 soldats turcs ont été tués lors d’une attaque aérienne orchestrée par la Russie sur la région d’Idlib.

Le président turc R.T. Erdogan a annoncé vouloir ouvrir ses frontières afin de provoquer un afflux de migrants en Europe.

Il s’agit d’un moyen de pression sur l’Union en vue de déclencher une réponse européenne sur la question du conflit syrien qui s’éternise.

Sources: Le Monde.

Pierrick Mouëza

Nancy Pelosi déchire le discours du Président des États-Unis.

Le 4 février 2020, la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis et membre du parti démocrate, Nancy Pelosi déchire, devant les caméras, son exemplaire du discours de Donald Trump au moment de l’élocution de celui-ci. Avant sa prise de parole, le président américain avait ostensiblement ignoré la main tendue de Nancy Pelosi ce qui fait écho à la demande de destitution du président par la démocrate quelques mois plus tôt.

Cette procédure a débouché sur un acquittement du Président.  Depuis, le froid entre les démocrates et républicains n’a cessé de s’intensifier.

Ce geste symbolique montre la division au sein du gouvernement américain et en particulier entre Nancy Pelosi et Donald Trump qui a d’ailleurs condamné ce geste.

Pierrick Mouëza

Enlisement du conflit russo-ukrainien

Six ans après le début de la crise de Crimée et près de 13 000 victimes  au total parmi les soldats et les citoyens, le conflit entre la Russie et l’Ukraine dans la région du Donbass semble s’être enlisé.

Malgré plusieurs tentatives de la part de la communauté internationale pour apaiser les tensions entre les deux pays et essayer de concilier les revendications des deux belligérants, la question de la souveraineté Ukrainienne sur les régions de Donetsk et Lougansk n’est toujours pas réglée .

Le Kremlin ne semble pas prêt à renoncer à sa souveraineté sur le territoire ukrainien, rendant inutiles les sanctions économiques mises en place par l’Union Européenne et les États-Unis à l’encontre de la Russie et empêchant toute négociation d’avoir lieu.

De son côté, le gouvernement ukrainien, lui, n’a pas non plus l’intention de retirer ses forces armées, bénéficiant même d’une aide économique des États-Unis.

En réponse à cette attitude, le président ukrainien, Volodymyr Zelenski,  fait d’ailleurs face à de vives critiques concernant sa gestion du conflit dans l’Est du pays.

Une affaire à suivre…

Pierrick Mouëza